|

Fiche technique :
Film français de Jean RENOIR
Année : 1936
Avec Nadia SIBIRSKAÏA (Ninette, l'amie de René), Madeleine SOLOGNE (Une ouvrière), Gabrielle FONTAN (Mme Lecocq, la paysanne), Madeleine SYLVAIN (Une femme dans le cortège final), Claire GERARD (Une bourgeoise dans la rue), Simone GUISIN (Une dame au casino), Madeleine DAX (Une secrétaire de séance), Muse DALBRAY (Une chômeuse), Yolande OLIVEIRO (Une femme dans le cortège final), Juien BERTHEAU (René, l'ingénieur en chômage), Jean RENOIR (le patron du bistrot), Jean-Paul LE CHANOIS (P'tit Louis), Jacques BECKER (Un jeune chômeur), Jean DASTE (L'instituteur), Max DALBAN (Brochard, le Chrono), Charles BLAVETTE (Tonin), Gaston MODOT (Philippe Lecocq, le neveu), O'BRADY (Mohammed, le laveur nord-africain), Marcel DUHAMEL (Mr Moutet, le Volontaire National).
Scénario, Adaptation et Assistants à la mise en scène : Jean RENOIR, Jean-Paul LE CHANOIS, Jacques BECKER, André ZWOBADA, Pierre UNIK, Henri CARTIER-BRESSON, Paul VAILLANT-COUTURIER, Jacques BERNARD-BRUNIUS, Marc MAURETTE, Maurice LIME, sur une idée de Paul VAILLANT-COUTURIER
Images : Jean-Serge BOURGOIN, Alain DOUARINOU, Claude RENOIR, Jean ISNARD, Louis PAGE, Nicolas HAYER
Montage : Marguerite RENOIR
Musique : "L'Internationale", Ronde des Saints-Simoniens, "Chanson des Komsomols" (Chostakovitch), "Auprès de ma blonde" et chants du Front Populaire, chantés par la chorale populaire de Paris sous la direction de Suzanne CCONTE. Chanson fredonnée "La Cucaracha"
Format : Noir et blanc
Genre : Politique
Durée : 66 minutes |
L'histoire :
Le film s’ouvre sur un cours de géographie, dans une école primaire de banlieue. Devant une carte de France, les enfants s’interrogent sur le pourquoi de leur misère. La réponse est fournie par un choeur parlé « La France n’est pas aux français, car elle est aux 200 familles, la France n’est pas au français, car elle est à ceux qui la pillent. » . Le film articule des séquences documentaires « rejouées » par les principaux dirigeants du parti avec des saynètes fictionnelles, construites autour de 3 tableaux :
– une cellule communiste qui déclenche une grève contre les cadences infernales et le licenciement d’un vieux travailleurs
– des militants qui s’opposent à la saisie des biens d’un paysan
– l’accueil par un groupe de jeunes communistes d’un jeune chômeur affamé et diplomé, accueil rythmé par les chants de la Chorale populaire de Paris.
Critique :
Découvrez d'autres sites sur La Vie est à nous :
|