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METROPOLIS

Fiche technique :
Film allemand de Fritz LANG
Année : 1927
avec Alfred ABEL (Joh Fredersen), Brigitte HELM (Maria / L'androïde), Gustav FRÖLICH (Freder Fredersen), Rudolf KLEIN-ROGGE (Rotwang, l'inventeur), Theodor LOOS (Josephot / Joseph), Fritz RASP (Le grand échalas), Erwin BISWANGER (Georgy, n°11811), Heinrich GEORGE (Grot), Hanns Leo REICH (Marinus), Heinrich GOTHO (Le maitre de cérémonie).
Scénario : Fritz LANG et Thea VON HARBOU, d'après le roman de Thea von HARBOU "Metropolis"
Prise de vue spéciales : Konstantin TSCHETWERIKOFF
Peintures : Erich KETTELHUT
Effets combinés : Eugen SCHÜFFTAN
Trucages photos : Günther RITTAU
Assistant trucages photos : H.O. SCHULZE
Durée : 90 mn
Genre : Science-fiction





L'histoire :
Metropolis est une mégalopole divisée en deux : la ville haute, où vivent les familles dirigeantes, dans l'oisiveté, le luxe et le divertissement, et la ville basse, où les travailleurs font fonctionner la ville.
Maria (Brigitte Helm), une femme de la ville basse, essaie de promouvoir l'entente entre les classes, et emmène clandestinement des enfants d'ouvriers visiter la ville haute ; le groupe se fait repousser par les forces de l'ordre, mais Freder Fredersen (Gustav Fröhlich), le fils du dirigeant de Metropolis, tombe amoureux d'elle. En descendant dans la ville basse pour la retrouver, il voit un ouvrier défaillir et le remplace spontanément. Mais le rythme imposé par les machines est trop important et une explosion se produit ; le monstre machine dévore les ouvriers.
Freder va voir son père, Johhan « Joh » Fredersen (Alfred Abel), pour l'informer sur les conditions extrêmenent pénibles dans lesquelles travaillent les ouvriers et lui demander d'améliorer cela. Johhan, voyant qu'il ne peut convaincre son fils des bienfaits de cette société ségrégatrice, fait appel au scientifique C.A. Rotwang (Rudolf Klein-Rogge) pour le faire changer d'avis...




Le guide du Cinéma chez soi (Télérama)
Budget pharaonique... et fiasco total ! Cette fresque fantastico-visionnaire du capitalisme ne manque pourtant pas de souffle. Grandes scènes de foule. Images chocs dénonçant l'exploitation de l'homme par l'homme. Violence filmée dans un mélange baroque de nouvel expressionisme et réalisme prolétarien... Reste l'ambiguïté du message idéologique : patron et ouvriers se réconcilient par une poignée de main sur le proche de l'église...
Xavier LACAVALERIE





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